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L'immigration oubliée des Belges en France

L’immigration belge en France est la plus ancienne (début du XIXe siècle) et la plus importante : des millions de Français comptent des Flamands et des Wallons dans leur ascendance. Pourtant, le souvenir semble en avoir été effacé. Jean-Pierre Popelier a retracé l’histoire de ces milliers d’hommes puis de familles venus chercher un emploi dans les fermes, dans les mines et les usines du Nord, du Pas-de-Calais et parfois dans des régions françaises plus lointaines.

L'immigration oubliée des Belges en France

SKU : 9782350773438
10,00 €Prix
  • L’immigration belge en France est la plus ancienne (début du XIXe siècle) et la plus importante : des millions de Français comptent des Flamands et des Wallons dans leur ascendance. Pourtant, le souvenir semble en avoir été effacé. S’il ne restait ces noms à consonances flamandes dans les annuaires téléphoniques et sur les monuments aux morts des villes du Nord et du Pas-de-Calais, qui se souviendrait que la première immigration fut belge ?

     

    Parti à la recherche de ses ancêtres originaires des régions de Tournai et de Gand, Jean-Pierre Popelier a retracé l’histoire de ces milliers d’hommes puis de familles venus chercher un emploi dans les fermes, dans les mines et les usines du Nord, du Pas-de-Calais et parfois dans des régions françaises plus lointaines. Pas toujours bien accueillis par la population et exploités davantage que les ouvriers français par un patronat avide de trouver une main d’œuvre docile et efficace, ils se sont fondus parmi des gens dont ils avaient, selon les aléas des guerres, partagé l’histoire et qui étaient leurs frères dans la misère et les espérances.

     

    Ce travail exceptionnel s’appuie sur des témoignages et des documents d’archives pour raconter le quotidien de ces premiers migrants économiques. Une histoire qui devrait toucher chacun d’entre nous.

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    • Jean-Pierre Popelier est né à Roubaix d’une famille d’origine belge. Depuis près de vingt-cinq ans, il se consacre principalement à l’histoire partagée de la Belgique et de la France – et plus particulièrement des Hauts-de-France. Dans ce but, il suit des études d’histoire et passe un Master 2 à l’EHESS sur ce thème.

     

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